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Questions

Publié par fdidion le 23 Février, 2009 - 02:52

Economie de la contribution : dépassement de la logique d'opposition et d'articulation 'Production-Consommation'. ("Economie du désir et désir en économie - débats" 31 janvier 2009, troisième vidéo, Bernard Stiegler, autour de la septième minute).

Qu'est-ce que ce désir de dépassement nous invite à inventer ? Dans quelles formes et à qui (individus - institutions) proposer les inventions que nous aurons muries ? Par quoi cette idée de la contribution se traduit-elle, peut-elle se traduire, concrêtement, ici et maintenant ?

Autre question à propos de cette "Economie de la contribution" : son domaine se limite-t-il à la production d'informations, toujours citée en exemple (internet, Wikipédia), ou concerne-t-il aussi les productions de ce qui nous nourrit, nous habille, nous loge et nous soigne ?

Je suis impatient de voir s'ouvrir les chantiers que toutes ces questions appellent, ... et plein de gratitude pour les efforts de tous ceux qui nous ont amenés à ces questions.

Francis.

quelles mesures indispensables pour rétablir un système financier et industriel performants? ›

Economie de la contribution : de la mise en pratique

Par Maqroll (non vérifié), le 2 Juillet, 2009 - 13:45.

Bonjour
L'économie de la contribution est celle d'une économie durable et qui se pose la question de ses impacts : l'éco conception est une piste méthodologique, économique et opérationnelle pour déployer cete idée de la contribution. La transition sera longue, mais elle est en route !

économie de la contribution

Par Anonyme (non vérifié), le 3 Avril, 2009 - 17:03.

Je suis informaticienne et je suis étonnée aussi de l'importance pratiquement exclusive que vous attachez, en ce qui concerne l'évolution de l'économie, à l'informatique "individuelle"; l'informatique des grandes organisations va faire évoluer l'économie de façon très importante, la sous-traitance va devenir la règle, on pourra assurer la coordination entre une multitude de petits sous-traitants qui supporteront le risque économique. Les salariés seront de plus en plus éparpillés, et les conditions sociales de plus en plus variables.