L'un des trois parlements régionaux belges s'oppose à un traité de libre-échange avec le Canada.

Les wallons refusent la ratification de l’accord économique et commercial global (AECG)1,2, ou Comprehensive Economic and Trade Agreement (CETA), pour eux l'existence des mutuelles dans la santé serait remis en cause, en effet, celles-ci relèvent de l'économie solidaire et sociale et ne font pas de bénéfices, ce qui est une hérésie pour ce genre de traités.

http://www.lalibre.be/actu/politique-belge/andre-antoine-reclame-un-ceta-corrige-pour-la-fin-2016-57ff852ecd701eed8fcc6f1b

Ces hommes politiques font exception. Nos dirigeants en général ne croient plus en la démocratie et essaient de la minimiser par tous les moyens et s'empressent de s'esclaffer quand une décision démocratique vient contrecarrer leur plans puis se plaignent de la désaffection des électeurs.

Ce qui est problématique, c'est cette certitude des gouvernants de détenir une vérité au-delà de démocratie et de vouloir verrouiller l'avenir dans ce sens alors même que personne ne le connaît.

Une fois les traités acceptés, il sera très couteux de revenir en arrière,
car les entreprises auront droit à des dédommagements lourds pour mettre fin à leurs activités.
Dès lors tout changement politique sera pratiquement impossible ou catastrophique.